Les blagues de l'ange de l'aurore

1- Un couple fait l'amour derrière un buisson : lui, s'active, s'active... elle, l'aide, l'aide..., soudain la fille a une pensée.

2 - Un jeune homme fonce dans un virage avec sa Subaru de sport, les pneus crissent, crissent..., soudain le jeune homme a une pensée.

3- Un gamin vise un oiseau avec son lance pierre, il tend, tend, son élastique, soudain il a une pensée.

Ces trois histoires se rejoignent dans une pensée unique, laquelle ?
Réponse : pourvu que le caoutchouc tienne.

Une brune, une rousse et une blonde travaillent dans le même bureau avec la même femme comme chef.

Chaque jour, elles remarquent que la chef s'en va tôt en fin de journée.
Un jour, les filles décident que, quand la chef s'en va, elles pourraient partir juste après elle.

La brune est toute excitée à l'idée de rentrer tôt à la maison. Elle fait un peu de jardinage et se couche tôt.

La rousse est vraiment heureuse de pouvoir se délasser dans son bain à remous avant de se rendre à un rendez-vous au restaurant.

La blonde était contente, contente, contente de rentrer à la maison mais, quand elle veut entrer dans sa chambre, elle entend un bruit sourd à l'intérieur.

Doucement, tranquillement, elle entrouvre la porte et est mortifiée de voir son mari au lit avec SA CHEF !!! Tout aussi doucement, elle referme la porte et se glisse hors de la maison.

Le jour suivant, pendant la pause café, la brune et la rousse parlent de quitter le travail tôt à nouveau et demandent à la blonde si elle ferait comme elles.
PAS QUESTION ! s'exclame t'elle, J'ai failli me faire choper hier !

Sur la colline du Golgotha, Jésus est mis en croix. Toute une escouade de légionnaires romains monte la garde autour de lui, pour tenir à distance ses disciples.
Soudain Jésus s'écrie:
- « Jean ! Jean ! »
Le disciple préféré du Seigneur sursaute et n'écoutant que son courage, se précipite vers la croix. Aussitôt, un légionnaire le repousse violemment.
- « Jean! Jean! » Fait à nouveau le Christ.
Bouleversé, Jean bouscule le légionnaire et fonce vers Jésus.
Mais le romain se relève, dégaine son glaive et lui tranche la jambe!
- « Jean ! Jean ! » Fait encore Jésus.
Jean se traîne sur le sol en gémissant, mais le romain lui coupe l'autre jambe !
- « Jean ! Jean ! »
Le disciple est presque arrivé à la croix, se redresse sur ses bras, mais le légionnaire lui coupe les deux bras.
- « Jean ! Jean ! »
En se tortillant sur le sol, le malheureux disciple arrive jusqu'au pied de la croix.
Dégoûté, le romain rengaine son glaive et décide de le laisser mourir en paix.
- « Me voilà Seigneur », dit Jean dans son dernier souffle. « Qu'y a-t-il ? »
- « Tu vas rire, dit Jésus en baissant les yeux sur lui. De là-haut, je vois ta maison, Jean ! »

Une fermière du Rwanda
Qui était Hutu de surcroît
Quitte sa case et sa smala
Pour le marché de Kampala.
Elle veut honorer sa tribu
D'un beau chapon gras et dodu.
Mais elle était peu fortunée
Et le marchand Tutsi rusé
Refusa de baisser le prix
Du chapon par elle, choisi.
Me le donneras-tu ?
Dit la cliente Hutu
Contre une gâterie
Sur ton beau bengali ?
A voir dit le vendeur,
De cette gâterie quelle serait la valeur ?
Vaudrait-elle un chapon ?
Il m'en faudrait la preuve pour de bon.
Aussitôt dit, la bougresse s'enfouit sous le boubou
Et vite fait jaillir la sève du bambou.
J'ai gagné le chapon s'exclame l'innocente
La bouche encore pleine du produit de la vente.

Que nenni ! Lui répond le volailler acerbe
Tout comme la face, le chapon tu as perdu,
Car comme le dit notre si beau proverbe
Turlute Hutu, chapon point eu.

Quelqu'un qui mange un être humain est un anthropophage.

Quelqu'un qui mange des cadavres est un nécrophage.

Nicolas Sarkozy n'est pas prêt de se rendre en Egypte, à cause des "SARKOphages.

L'intelligent et le stupide font un jeu (stupide), dont voici les règles: chacun d'eux va poser des énigmes à l'autre. Si le stupide ne sait pas répondre, il paye 1franc à l'autre, si c'est l'intelligent qui ne sait pas répondre, il paye 100 francs parce que lui il est intelligent, et comme ça c'est équitable.

L'intelligent commence :

- Qu'est ce qui a quatre pattes et qui miaule?
- Je ne sais pas, tiens voilà 1F.

- Qu'est ce qui a quatre pattes et qui aboie?
- Je sais pas, tiens voilà

- Allez dis quelque chose toi aussi, demande l'intelligent au stupide...
- Bon, qu'est ce qui a huit pattes le matin et quatre le soir? L'intelligent réfléchit, réfléchit pendant une heure mais ne trouve pas, et se trouve contraint de donner sa langue au chat.

- Je ne sais pas. Tiens voilà 100 F. Alors c'était quoi?
- Je ne sais pas, tiens voilà 1F.

Dieu termine la création du monde. Il vient tout juste de créer Adam et Eve.
- "Avant de vous laisser, il me reste deux choses à vous donner. À vous de choisir : l'une c'est pour faire pipi de bout, et..."
- "Parfait, parfait, moi je prends ça dit Adam".
Tout content, Adam court et fait pipi de loin, de près, contre un arbre.

Eve regarde, éberluée:
- "Et moi Seigneur, il me reste quoi?"
- "Un cerveau".

Fais le sans calculette et sans écrire.

Prends 1000. Ajoute 40.
Ajoute encore 1000.
Ajoute 30.
Encore 1000.
Plus 20.
Plus 1000.
Et plus 10.

Quel est le total ?

T'as envie de répondre 5000... Eh bien tu te trompes. La réponse est 4100 !

Un couple d'une soixantaine d'années, mariés depuis plus de trente ans, se promènent dans la forêt magique de Brocéliande en Bretagne, forêt de Merlin l'enchanteur. Arrivés au bord d'un ruisseau que l'on peut franchir en marchant sur des pierres, ils voient une vieille femme qui ne peut traverser. Ils font la chaise avec leurs bras et la font traverser. Arrivés de l'autre côté, la vieille femme devient une fée et leur dit : "Merci, demandez-moi ce que vous voulez".

La femme lui demande de pouvoir faire le tour du monde en avion. "Accordé !" dit la fée. L'homme, un peu gêné, se tourne vers sa femme et lui dit : "jamais je ne retrouverai une occasion pareille, pardonne moi"; Il dit alors à la fée : "Je voudrais avoir une femme de trente ans plus jeune que moi". "Accordé" lui dit la fée. Et elle le vieillit de trente ans, lui donnant 90 ans, sa femme ayant alors trente ans de moins que lui. Et oui, les fées sont des femmes.

Une blonde voulant gagner un peu plus d'argent décide d'offrir ses services comme 'femme à tout faire' auprès de ses voisins.
Elle se présente à la première maison et demande au propriétaire s'il aurait du travail pour elle.

- "Oui, j'aurais bien besoin de quelqu'un pour repeindre mon porche.
Vous prenez combien ? "
- "50 euros!" répond la blonde

L'homme accepte et lui dit que la peinture et tout ce dont elle a besoin sont dans le garage.

L'épouse du propriétaire, qui a entendu la conversation, lui demande:

- "A-t-elle réalisé que notre porche fait tout le tour de la maison ?"
- "Je ne sais pas, et tant pis pour elle", répond-il.

- "Tu as raison. Je vais croire que toutes ces blagues sur les blondes qu'on reçoit par email sont justifiées, finalement !"

Peu de temps après, la blonde vient à la porte pour recevoir son paiement.

- "Vous avez déjà fini ?" demande l'homme.

- "Oui," répond-elle,"et comme il restait de la peinture, j'ai même passé une deuxième couche."

L'homme, étonné, sort de sa poche les 50 euros et les lui donne.
- "Ah, au fait," ajoute la blonde," votre voiture ce n'est pas une Porsche, mais une Jaguar."

J'étais chez Cora en train d'acheter un Grand sac de croquettes Fido pour notre chienne Dixie et j'étais dans la queue pour payer. Une femme derrière moi me demande si j'ai un chien...
J'étais un peu dans les vapes, sur une impulsion, je lui dis, «non, je recommence mon régime Fido. Encore que je ne devrais pas, vu que la dernière fois, j'ai terminé à l'hôpital. Mais j'ai perdu 25 kilos avant de me réveiller aux soins intensifs avec des tubes partout et une perfusion dans chaque bras ». A ce moment là, les yeux commençaient à lui sortir de la tête.
J'ai continué avec mon invention du régime, elle avait totalement gobé le truc. Je lui dis que c'est facile et pas cher, qu'il suffit de remplir ses poches ou son sac avec les croquettes , et d'en manger une ou deux chaque fois que la faim se fait sentir. L'emballage dit que cette nourriture est complète, et donc j'allais encore essayer.
Je dois dire qu'à ce point presque tout le monde dans la file était fasciné par mon histoire. Horrifiée, elle me demande si quelque chose m'a intoxiqué dans cette nourriture, et si c'est pourquoi j'ai terminé à l'hôpital ?
J'ai dit : "non, j'étais assis au milieu de la rue en train de me lécher le cul quand une voiture m'a percuté".

Au bord de l'eau, dans un petit village mexicain, un bateau rentre au port.

Un américain qui est là, complimente le pêcheur mexicain sur la qualité de ses prises et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer.

- "Pas très longtemps" répond le Mexicain.

- "Mais alors, pourquoi n'êtes-vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus ?" demande l'Américain.

Le Mexicain répond que ces quelques poissons suffisent à assurer la subsistance de sa famille.

L'Américain demande alors :

- "Mais que faites-vous le reste du temps ?"

- "Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme. Le soir, je vais au village voir mes amis, nous buvons du vin et jouons de la guitare. J'ai une vie bien remplie.

L'Américain l'interrompt :

- "J'ai un MBA de l'université de Harvard et je peux vous aider.

Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps.

Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau.

Avec l'argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un deuxième et ainsi de suite jusqu'à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers.

Au lieu de vendre votre poisson à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l'usine et même ouvrir votre propre usine.

Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico, Los Angeles, puis peut-être New York d'où vous dirigeriez toutes vos affaires."

Le mexicain demande alors :

- "Et combien de temps cela prendrait-il ?"

- "10 ou 20 ans", répond l'Américain.

- "Et après ?"

- "Après ? C'est là que ça devient intéressant", répond l'Américain en riant,

"Quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse et vous gagnerez des millions."

- "Des millions ? Mais après ?"

- "Après ?"

- "... Vous pourrez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos enfants, pêcher un peu, faire la sieste avec votre femme et passer vos soirées à boire et à jouer de la guitare avec vos amis..."

Ce sont deux statues de marbre blanc, celle d'un homme tout nu et celle d'une dame également à poil, qui se regardent l'une l'autre avec amour dans le parc de Versailles depuis plussieurs centaines d'années.
Un jour, un ange ému de cette patience leur rend visite et leur dit :

- Votre situation m'a ému. Vous voir ainsi, debout, tendus l'un vers l'autre si patients, été comme hiver, c'est vraiment touchant. Je veux vous récompenser par une demi-heure de vie humaine. Vous pourrez enfin faire ce dont vous rêvez depuis plusieurs siècles !

Les deux statues prennent soudain vie, se regardent toutes deux timidement, rigolent un peu et disent:
-Alors, on le fait ?
-Oui, faisons-le !

Elles s'enfuient vers les buissons qui s'agitent et d'où s'échappent éclats de rire et bruits de feuilles froissées. Au bout d'un quart d'heure, nos deux amoureux sortent de là tout rouges et visiblement heureux. L'ange étonné et attendri leur dit alors :
-Mais vous savez qu'il vous reste encore un quart d'heure ?
Vous pouvez recommencer si le coeur vous en dit !

Ils rient sous cape, se regardent à nouveau et le monsieur dit à la dame:
-OK, on recommence. Mais cette fois dans l'autre sens ! C'est toi qui tient le pigeon et c'est moi qui chie sur sa tête.

Pourquoi le célèbre dictionnaire s'appelle "LAROUSSE" ?

Parce qu'il s'appelait "LA BLONDE", il ne contiendrait que deux pages.

Quand tu doubles le dernier dans une course à pieds, quelle est ta position ?

Eh bien on peut pas doubler le dernier, puisqu'il n'y a personne deriière lui !

Une blonde va acheter un livre en librairie, tenue par une blonde.
-"Bonjour madame. Je peux vous aider ?
-Oui. Je voudrai acheter un livre !
-Bien sûr. Mais de quel auteur ?
-De vingt centimètre !
-Vincent qui ?"

Deux blondes jouent aux échecs lorsque l'une d'elle demande : "Tu connais les règles ?" L'autre répond : "Pourquoi ? J'ai le nez qui saigne?"

Un sondage sur le sport donne les statistiques suivantes :

- Le sport préféré des personnes sans emploi est le basket-ball.
- Le sport pratiqué par les auto-didactes est le football.
- Le sport le plus apprécié chez les ouvriers est le bowling.
- Le sport le plus en vogue chez les cadres est le tennis.
- Le sport élu par les cadres supérieurs est le squash.
- Et le sport le plus pratiqué par les chefs d'entreprise est le golf.

Conclusion de cette enquête : Plus on monte dans la hiérarchie de la société du travail, plus les boules sont petites !

Trois copains qui aiment faire de la montagne projettent une sortie le week-end prochain. Hélas il pleut toute la semaine, mais le samedi matin beau soleil.

Ils partent donc et arrivent devant une petite rivière qu'ils passaient en marchant sur des pierres.

Mais la petite rivière, à cause des pluies de la semaine, est devenue un énorme torrent impétueux.

Très croyants et très pieux, le premier s'adresse alors à Dieu et lui dit : "Dieu, donne moi des gros muscles aux bras et aux jambes..." C'est accordé, alors il traverse le torrent à la nage.

Le deuxième dit : Dieu en plus des muscles du premier donne moi un outil"... Et Dieu lui ajoute un canoé. Il traverse le torrent.

Le troisième dit : "Dieu donne moi l'intelligence !" A ce moment, Dieu le transforme en femme. Elle ouvre son sac à dos, sort une carte, l'examine, remonte le torrent sur trois cents mètres et passe le pont.

Suite à une petite annonce parue pour un poste de comptable, le recruteur reçoit les premiers candidats.

D'abord un ancien militaire, qui semble faire l'affaire, mais au cas où, le futur patron explique :
-"Pour le poste, c'est très simple, il suffit de savoir compter. Vous savez compter ?"
-"Oui, bien sûr. UNE, DEUX, UNE, DEUX, UNE, DEUX..."
-"Merci, nous vous recontacterons."

Entre ensuite un ancien informaticien, et même topo :
-"Vous savez compter?"
-"Oui, bien sûr. ZERO, UN, ZERO, UN, ZERO, UN..."
-"Merci, nous vous recontacterons"

Puis au tour d'un ancien fonctionnaire, et toujours la même routine :
-"Vous savez compter ?"
-"Oui, bien sûr, UN, DEUX, TROIS, QUATRE, CINQ, SIX."
-"Très bien, Continuez"
-"SEPT, HUIT, NEUF, encore ?"
-"Allez-y."
-"DIX, VALET, DAME, ROI..."

Ne dites pas : Tu as vraiment une gueule de balai à chiotte.
Dites plutôt : Tu as l'air d'aller au fond des choses.

Un lapin et un castor se retrouvent dans la forêt :
" - Salut, dit le castor. Tu viens boire un coup chez moi ? J'habite pas loin...
- Ok, je te suis... "

Et ils partent tous les deux taquiner la bouteille chez le castor. Au bout d'un certain temps, après avoir descendu quelques bières et fumé quelques pétards, le lapin se rend compte de l'heure et dit à son copain :

" Meeeerde ! Il faut que je rentre... Lais là, je suis vraiment pas en état de marcher ! En plus, on est super loin de chez moi...
- Ne t'inquiète pas, tu n'as qu'à monter sur ma queue et je te ramène. Tu seras chez toi en deux secondes... "

Peu de temps après, le lapin était chez lui.
Quelques jours plus tard, ils se recroisent dans les bois :
" Heeey, cette fois, c'est toi qui vient chez moi, dit le lapin. On est tout près !
- Ca marche! "

Et de nouveau, ils se fracassent la tête jusqu'à point d'heure... Puis le castor se lève en disant :

"Bon, c'est pas tout ça, mais j'ai du chemin pour arriver jusqu'à chez moi... Je n'aurais pas dû boire autant !
- Ne t'en fais pas, Cette fois-ci c'est moi qui te ramène !
- Mais comment ?
- Ne bouge pas, je reviens..."

Peu après, le lapin revient au volant d'une superbe Ferrari rouge et dit :

"Allez, monte ! Je te ramène."

Moralité : quand on a une petite queue, il vaut mieux avoir une grosse voiture.

Un Montréalais part en vacances en Israël, avec sa femme et sa belle mère.

Pendant le séjour, la belle-mère décède. Les pompes funèbres demandent 5000$ pour le rapatriement du corps, et 500$ pour l'enterrement.

Harry n'hésite pas une seconde, et opte pour le rapatriement.

Une fois à l'hôtel, Sheila embrasse tendrement son mari.
-Harry. Chéri. Je suis contente que tu aies choisi le rapatriement. C'est cher. Je le sais. Et c'est une grande marque d'amour pour moi et ma mère. Tu es merveilleux.

- Mais non, mais non, mon amour. C'est normal. C'est la moindre des choses.

- Comme je t'aime...

Une fois à Montréal, Harry raconte son histoire à son ami et comptable Nathan. Ce dernier n'en croit pas ses oreilles...
- Comment ? Toi ? Tu as payé 5000$ au lieu de 500$ pour ta belle-mère ? Hé ! Ça ne va pas !

- Nathan, écoute-moi bien, là-bas, il y a 2 000 ans, ils ont enterré un gars qui est ressucité au bout de trois jours. Je ne voulais prendre aucun risque avec ma belle-mère.

Un jeune novice arrive au monastère.
La tâche qui lui est assignée est d'aider les autres moines à recopier les anciens canons et règles de l'Eglise.

Il remarque que ces moines effectuent leur travail à partir de copies et non des manuscrits originaux.

Il va voir le père abbé, lui faisant remarquer que si quelqu'un a fait une petite erreur dans la première copie, elle va se propager dans toutes les copies ultérieures.

Le père abbé lui répond :
- Cela fait des siècles que nous procédons ainsi, que nous copions à partir de la copie précédente, mais ta remarque est bonne, mon fils.

Le lendemain matin, le père abbé descend dans les profondeurs du sous-sol du monastère, dans une cave voûtée où sont précieusement conservés les manuscrits et parchemins originaux.

Cela fait des siècles que personne n'y a mis les pieds et que les scellés des coffres sont intacts.

Il y passe la journée toute entière, puis la soirée, puis la nuit, sans donner signe de vie.

Les heures passent et l'inquiétude grandit. A tel point que le jeune novice se décide à aller voir ce qui se passe.

Il descend et trouve le père abbé complètement hagard, les vêtements déchirés, le front ensanglanté, se cognant sans relâche la tête contre le mur de pierres vénérables.

Le jeune moine se précipite et demande :
- Père abbé, que se passe-t-il donc ?
- Aaaaaahhhhhh !
Mais quels crétins ! Quels crétins !
C'est voeu de CHARITÉ qui est écrit, pas CHASTETÉ.

Le parking du bar.

Le gars sort du bar en titubant. Un véritable désastre. Il lui faut cinq bonnes minutes pour trouver les clés de sa voiture, non sans être tombé deux ou trois fois.

Au bout du parking, les policiers regardent la scène. Il faut cinq autres grosses minutes pour que le gars réussisse à faire tourner le moteur.

Pendant ce temps, ses amis sortent du bar, cognent dans sa vitre et lui souhaitent bonne nuit.

Ça ne va pas bien pour Albert, mais il chante quand même I did It My Way.

Finalement, il réussit à lancer le moteur, et il commence à rouler. Immédiatement, les policiers allument leur gyrophare, et le mettent en état d'arrestation. Ils lui demandent de souffler dans le ballon.

Zéro. Rien. Pas une goutte d'alcool ! Rien !
- Mais pourquoi ça vous semblait si difficile de trouver vos clés et de monter dans la voiture ?
- Ah ! Ça ! Bien ce soir, c'est moi qui tenait le rôle de leurre. Les autres sont tous partis !